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| L'envie et la haine s'unissent toujours […]. | |
| Auteur | Message |
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Alexis K. Brighton
DAY TO DAY ▬ always on my mind ♥
▌INSCRIT LE : 27/03/2010 ▌MESSAGES : 1344 ▌SURNOM PAR GG : Lose hope Points : 219
| Sujet: L'envie et la haine s'unissent toujours […]. Lun 26 Avr - 23:30 | |
| « Il ne faut qu'une seule occasion pour faire d'un ange un démon. » Qu'est-ce qu'un samedi matin ? C'est la grasse matinée suite à une semaine de cours très chargée, ou peut-être un levé tôt pour ceux qui ont gardé l'habitude de la semaine. Et que vont normalement faire ces personnes normales en ce premier jour de week-end ? Glander, peut-être. Mais ici, dans l'Upper East Side, la vie a un tout autre rythme. Que ce soit la semaine comme le week-end, on se lève tôt. Certaines prennent un bon petit déjeuner de roi ou de reine tandis que d'autres prendront juste la peine de s'habiller et d'aller faire un footing. Ce matin, pour Alexis, c'était une matinée comme les autres. Enfin, mise à part l'absence de cours en cette journée radieuse. Néanmoins avec un peu de mal à se réveiller pour une fois. Car oui, ce matin elle n'avait pas eu ce petit sursaut, qu'elle avait tous les jours, car elle s'était encore réveillée en retard pour aller en cours Bref. C'est ainsi vêtue d'un petit top et d'un mini short comme pyjama qu'elle alla prendre son petit déjeuner de reine, comme tant d'autres à cette heure-ci. Eh oui, même si elle était partie du « cocon familial » si on peut l'appeler comme ça, elle avait tout de même quelques habitudes. Menu du matin ? Un moka et une assiette de fruits. Un délice. La suite du programme, une douche, s'habiller et se maquiller. Comme tous les jours en fait ! Pour cette belle journée, Alexis avait choisi de porter léger : un robe lui arrivant bien au dessus des genoux, plutôt large, couleur bleu ardoise. Et avec ceci, des petits talons hauts de la même couleur, ainsi qu'un mini-sac argenté histoire d'y glisser le strict minimum : carte-bleue, maquillage et téléphone portable. Un maquillage dans les mêmes tons de couleur, juste du blanc au coins internes afin de faire ressortir ses yeux clairs. Quelques bijoux par-là et elle était prête à sortir. Enfin presque. Planning de la journée ; et si nous allions faire du shopping ! Après tout cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas pris un peu de temps pour elle. Ces derniers temps n'avaient pas été les plus joyeux. Cette histoire avec Hayden, et Jake… Non ! Alexis secoua la tête pour essayer de ne plus y penser. Vous pensez que ça marche vraiment ? Bref, la jeune fille passa le pas de sa porte, ferma à clé et s'en alla. Aujourd'hui était un nouveau jour et dorénavant, elle allait vivre au jour le jour ! Plus question de réfléchir, enfin si un peu, mais pas pour se prendre la tête. Maintenant, elle allait vivre. Elle avait assez souffert comme ça ces derniers temps pour se laisser tirer vers le bas. Mais elle était bien loin de se douter de ce qu'il pouvait lui arriver. La cinquième avenue n'était guère loin de l'Upper East Side, et une marche à pied ne lui ferait pas de mal. Cheveux relâchés, dictés par le vent, eux non plus n'étaient pas maître de leur vie… Le regard haut, se montrer supérieur, tout en ayant le sourire au bord des lèvres, même s'il n'était pas réel, cela jouait de son charme. Des regards envieux de jeunes-hommes, ou alors des éclairs dans les yeux de certaines filles qu'elle connaissait. Eh oui, une fois que l'on paraît dans le blog de Gossip Girl, on ne passe plus inaperçu. Alexis regardait de part et d'autre de la rue, jusqu'à regarder derrière elle. Le problème c'est que des fois, plutôt que de regarder derrière soit, nous ferions d'aller de l'avant, sans jamais se retourner. Parfois, il arrive que lorsque l'on se retourne, il se passe quelque chose d'assez inattendu. Ce regard vers l'arrière dura qu'une fraction de seconde, mais ce fut suffisant pour bien voir ce qu'elle venait de voir. Alexis retourna aussitôt la tête et se mordit la lèvre. Non pas qu'elle avait l'air surprise, parce que ce qu'il se trouvait derrière elle n'était autre que Damen Miles Sawyer, un gars de son université qui n'arrête pas de lui faire du rentre dedans. Alors l'imaginer entrain de la suivre était tout a fait possible. La blondinette se mis alors à réfléchir, un peu trop. Disons qu'elle n'avait pas pensé à ce détail. Et une question persistait : depuis quand ? Oui, depuis quand la suivait-elle ? Depuis chez elle, ou… ? Mais, Alexis changea du tout au tout en une fraction de seconde. L'envie de crier, de jurer. « Oh shit ! » Voilà, au moins, c'était dit. Enfin bref, il fallait qu'elle trouve rapidement une solution pour le semer. Seulement voilà, à sa gauche, se trouvait l'entrée vers Central Park et à sa droite la NYPL. Central Park, bien trop étendu comme lieu. Il fallait qu'elle reste avec du monde, ou alors, dans un endroit certain. Elle n'avait plus le choix de toute façon, autant faire ça maintenant. Alors, inconsciemment, Alexis pris la droite, réflexe humain, soit dit en passant : la bibliothèque. Au moins là, c'était calme, silencieux et c'était un lieu de travail. Et beaucoup moins grand que le parc. Alexis pénétra donc dans la NYPL. Là, elle pu trouver une grande salle presque vide, à son grand désespoir. Mais bon, il ne fallait pas s'arrêter à si peu. Elle devait maintenant s'éloigner le plus possible de la porte au cas où Damen se serait amuser à la suivre jusqu'au bout, ce dont elle doutait. En effet, il était peut-être obsédé mais pas assez pour rentrer dans ce lieu. Enfin, il fallait croire. Seulement, rien ne se passa comme prévu. Alexis pu apercevoir cette silhouette familière passer l'entrée. Alors, aussi rapide que l'éclair, elle se dirigea vers les rayons, faisant mine de chercher quelque chose. Et chose un peu irréfléchie, on ne peut pas dire qu'elle était restée près du monde. Non, bien au contraire, elle s'était enfoncée plus loin dans la bibliothèque, entre le rayon littérature et celui de la nouvelle. Mais pas le temps de faire marche arrière qu'il était déjà à l'autre bout du rayon, prêt à foncer sur elle… |
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| Sujet: Re: L'envie et la haine s'unissent toujours […]. Mar 27 Avr - 22:04 | |
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«Le seul moyen de chasser un démon est de lui céder. »
Alexis • K. Brighton & Damen*
Pourquoi en général samedi matin rimé très clairement avec grasse matinée ? Et bien c’est facile à comprendre, pour un débauché de mon envergure la nuit était le début d’un perpétuel amusement. J’étais un homme du soir, tout comme le fut mon père, l’obscurité est un voile très excitant dont je me sert régulièrement pour attiré mes conquêtes jusqu’à mes somptueux quartiers. La journée venait tous juste de commencer que je visionnais dans ma tête des images clefs de ma folle nuit d’hier soir, j’en avais encore les papilles gustatives embaumaient de ce doux parfum d’alcool. C’était si bon que j’avais peine à ouvrir mes yeux, mais bon, je trouva ma motivation en me souvenant du numéro que j’avais réussit à extirpé de ma précédente soirée, une merveilleuse asiatique au vertu apaisante tous ce qu’il me fallait pour me remettre dans ma plus joyeuse humeur. Je l’attendais avec impatiente… Enfin bref, je me leva de mon lit et pied nu j’alla jusqu’à ma salle de bain. Au bord de mon lavabo il y avait les substances qui me faisait démarré tout bonnement le journée. Un petit roulé d’herbe que j’avais fait importé des pays chaud, je l’alluma avec un vieux zipo traînant dans le tiroir et j’en tira deux trois lattes.
Ha … C’était agréablement bon . Maintenant il ne me restait plus qu’a prendre ma douche de routine et une fois celle-ci prise je me rendit vers mon armoire pour choisir des vêtements approprié, j’étais aussi coquet qu’une fille pour le style vestimentaire. Une cravate rayée rattachait à une chemise blanche, le tous surmené par une veste costard noire avec des nuances de bleus et d’un pantalon sobre . J’étais fin prêt, j’ajusta devant mon miroir une dernière fois mon noueux de cravate et je descendis en cuisine pour prendre un petit déjeuné réalisé par un chef de la plus haute renommé. Oui il faut savoir que je vivais dans l’hôtel de mon père, j’étais considéré comme un roi, normal j’en étais un . Ma limousine m’attendait devant l’entrée de l’hôtel, voyant que j’arrivais le chauffeur descendit pour m’ouvrir la portière, je m’installa sur la banquette et fit signe au chauffeur de démarré. En début de week end, surtout en matinée, j’aimais bien me promener en limousine pour repéré d’éventuelle femme pour ma soirée.
J’avais entre ouvert les vitres teintées pour avoir une plus large vision. Le paysage et les femmes défilaient, hélas toujours rien, tantôt une femme trop petite, tantôt une autre trop pâle et ils y avaient celles qui me souriait en coin en croisant mon regard, en général cette catégorie si me connaissait très bien . C’est au moment où je commençais à perdre espoir que je vis la femme qui de sa beauté effacé d’un flou le monde l’entourant. J’esquissa un sourire très reconnaissable, similaire au prédateur prêt à traquer sa proie . Ne la quittant pas des yeux je fit signe au chauffeur de la suivre lentement, je voulais voir ou es ce qu’elle se rendait sans qu’elle puisse se rendre compte de ma présence. La Bibliothèque ? Elle ? Une femme d’un tel calibre dans un tel endroit, elle était toujours aussi imprévisible, presque autant que moi.
J’attendis qu’elle rentre à l’intérieur pour sortir de la limousine et me dirigeais en direction de la bibliothèque. A peine le seuil de l’entré franchit que déja la femme qui s’occupait de se bâtiment me jeta un regard froid comme si elle avait cerné le personnage que j’étais. Bref, j’ignora son regard et m’engouffra dans un rayon cherchant désespérément la belle blonde. A travers la reliure des livres j’essayai de voir dans quel rayon elle se trouver, je la repéra très vite à cause de sa robe presque turquoise. Le fait de la voir cherchait un livre me donna une idée… J’en saisis un en bout de rayon et je l’aborda avec délicatesse et tact.
« Une si délicieuse blonde dans un lieux aussi silencieux c’est presque de la torture » Faisant semblant de m’intéressait aux bouquins je poursuivit ma phrase en mettant en avant le livre que j’avais pris « Ce n’est pas ce livre que tu recherches par hasard ? » Je lui tendit le livre et l’on pouvait très distinctement en lire son titre "Le Kamasutra" mon guide préféré . |
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Alexis K. Brighton
DAY TO DAY ▬ always on my mind ♥
▌INSCRIT LE : 27/03/2010 ▌MESSAGES : 1344 ▌SURNOM PAR GG : Lose hope Points : 219
| Sujet: Re: L'envie et la haine s'unissent toujours […]. Mer 28 Avr - 2:04 | |
| Un peu prise de panique, sur le coup, elle n'avait pas réfléchie. Mais il faut dire qu'au moment où elle avait pénétré dans la bibliothèque, elle était bien loin de se douter que Damen la suivrait. Après tout, ce n'était pas son genre. Et cela se savait. Pas uniquement à la lecture de l'étiquette, mais aussi par sa réputation à l'université. Il s'enfile toutes les nanas les plus incontournables possibles, les collectionnes. C'était tellement dégueulasse. Et encore, le mot n'était pas assez fort pour le décrire. Mais le pire dans tout cela, ce n'était peut-être pas sa nature, mais celles qu'il attirait. Alors il y a bien des filles qui aiment les one shot ? C'est à se demander où va le monde. La Terre ne tourne plus rond. D'un autre côté, Damen ne se taperait jamais une fille de bas quartiers. Non, ce n'était pas une excuse. Enfin si, peut-être. Ainsi, Alexis était elle aussi immunisé de ce moule dans lequel elle se trouvait. Oui, les filles que Damen se serrait, étaient le plus souvent des jeunes femmes provenant de familles riches. Ah mais qu'elle est belle la haute société. Mais ça se comprend. Rien qu'à voir les parents. Un mariage forcé pour la plupart. Ce n'est pas étonnant quand on sait qu'ils ont tous un amant dans ces cas là. Enfin, peut-être que certaines personnes faisaient exception à la règle. Comme son père. Depuis la mort de sa mère, Alexis a toujours vécu aux côtés de son père, et jamais ô grand jamais il n'avait ramené une autre femme à la maison. Le chagrin, le choc, tout avait été trop fort. Et elle, cette petite fille sans amour maternel, peut-être qu'elle aurait bien aimé que son père lui ramène une belle-mère. Peut-être qu'à l'heure d'aujourd'hui, elle habiterait toujours chez lui. Peut-être qu'à l'heure d'aujourd'hui, elle ne serait pas la fille qu'elle est aujourd'hui. Bien trop adulte pour son âge, bien trop responsable. Mais cette enfance gâchée lui risque bien des erreurs dans la vie qu'il lui restait à vivre. Et son âge dit « âge de raison » n'était qu'un bref aperçu. A quoi était-elle donc destinée ? Pendant que son esprit vagabondait loin de ce monde, elle continuait de marcher entre les rayons. Petit à petit, elle s'était enfoncée jusqu'au fin fond de la bibliothèque, entre le rayon littérature et celui de la nouvelle. Et si cet endroit était bien reculé du public, c'était peut-être parce que c'était des ouvrages que l'on étudiait plus aujourd'hui, mais qui restait une sorte d'œuvre d'art pour cet établissement. Toute passion mérite une collection. Son excuse était loin d'être valable en réalité. Franchement, déjà une fille de son envergure, d'une telle puissance par un simple nom de famille n'avait rien à faire ici, et encore moins dans les livres oubliés de cette société si aisée. Bien sûr, il n'était pas rare de trouver les incontournables, mais c'était simplement des anciennes éditions. Grave erreur que venait de commettre Alexis en s'aventurant aussi loin du monde. Elle s'était reculée si loin dans les rayons comme dans le temps qu'il était certain que jamais personne ne ferait son apparition par ici. Et elle savait. Il l'avait suivi et le voilà qu'il se tenait devant elle. Le plus énervant dans tout cela, c'était sa manière d'agir. Damen faisait comme s'il cherchait un livre. Mais cela se voyait comme le nez au milieu de la figure. En réalité, il cherchait une belle blonde du nom de Alexis. Mais sa réflexion fut brève. Ce qui encouragea la jeune fille à reculer d'un pas. Il venait de saisir un livre. Elle se doutait qu'il ne l'avait pas choisi au hasard. Une excuse. Mais elle était loin de se douter de ce qu'il tenait entre ses mains. Si bien qu'elle le laissa s'approcher d'elle. Il se trouvait à présent à un peu moins d'un mètre d'elles, à quelques centimètres. Elle savait ce qu'il allait faire, mais pas ce qu'il allait dire. Aussi, elle ne s'était pas réellement préparée. DON JUAN — « Une délicieuse blonde dans un lieu aussi silencieux, c'est presque de la torture. Ce n'est pas ce livre que tu cherches ? » Damen venait de mettre en évidence le livre qu'il avait pris. Et pour ce genre de chose, il n'y avait pas besoin de procéder d'une certaine façon. Non, un simple réflexe humain. Essayez donc de faire ça avec n'importe qui, vous pouvez être certain que cette personne baissera systématiquement les yeux. Alexis en fit autant. Elle regarda plus attentivement ce qu'il tenait en main, jusqu'à s'arrêter sur le titre. Elle n'avait pas besoin d'aller plus loin que les quatre premières lettres pour connaître de quoi il s'agissait. Silence. Les yeux ronds, elle releva tête, pour poser son regard sur Damen. Pas tellement choquée en fait, mais plutôt peureuse. Puis, un moment de lucidité. Elle venait de se rendre compte qu'il lui parlait comme s'il ne la connaissait pas. Avait-il la mémoire courte ? Il n'y a même pas deux jours, il lui avait sorti le même scénario. Il était revenu la voir, comme précédemment, et l'avait abordé, comme d'habitude, jouant de ses charmes. D'un côté, c'est vrai qu'il était très attirant. Charismatique. Ce regard si profond, ce sourire se dessinant à chacune de ses phrases. Mais d'un autre côté, sa réputation, sa manière d'être et d'agir, c'était repoussant. A. — « Damen, est-ce que tu me suis ? » Alexis venait de reprendre son calme, et son sérieux, ou plus ou moins, elle essayait. Et de sa petite voix, bien que voulant paraître autoritaire, elle croisa les bras, attendant une réponse. Non, en fait, elle allait même pas en attendre une. La réponse était tellement évidente. C'était ce que l'on appelait une question rhétorique. Histoire de lui rappeler que ce qu'il faisait, c'était mal. Mais franchement, qu'est-ce qu'il en avait à faire ? C'était un genre de garçon à faire tout le contraire de tout le monde de toute façon, excellant dans le pire, plutôt que dans le meilleur. A. — « Et puis pourquoi tu fais toujours comme si tu ne me connaissais pas ? » Mais à le regarder de plus près, ce n'était pas étonnant. C'était sûrement la défonce. Non pas qu'elle était une experte en la matière, même si quelques écarts n'étaient jamais de refus lorsque le bon moment se présentait, mais elle savait de quoi elle parlait. Il ne cessait de la regarder, droit dans les yeux, pupilles dans pupilles. Alexis le remarqua aussitôt. Dilatées, rouges. D'un côté, si le contexte en avait été autrement, elle aurait sûrement rit. Mais là, le lieu, ce silence, ce vide, tous les éléments étaient réunis pour qu'elle garde son sérieux. Et dire que sa sortie du jour avait pour objectif s'occuper d'elle, et bien c'était raté. La question était maintenant, comment s'en débarrasser. La jeune fille passa une main dans ses cheveux. Soupir. Que faire ? A plusieurs reprises, il l'avait abordé. C'était peut-être trop difficile de s'avouer vaincu. Il n'avait pas encore ajouté Alexis à sa collection, donc il insistait. Encore et encore. Quelle ironie. Et dire qu'ils étaient tous deux issus du même monde. Elle qui croyait qu'ils étaient tous pareils. Au final, son enfance était tellement différente des autres. Toujours sourire. Mais au fond, tellement seule. Jouer avec les gens n'avait jamais été son divertissement. Non, elle avait trop mal vécue pour cela. Ou peut-être qu'elle avait trop réfléchie. Qu'est-ce qui avait bien pu rendre ce garçon comme ça ? De quoi avait-il peur ? Que fuyait-il ? Il y avait bien une raison à ce comportement. On ne peut pas s'amuser autant avec les gens sans arrières pensées. C'était inhumain. Il jouait avec ses charmes, s'en était tellement attirant, à en oublier sa personne. Mais justement, cette personne, était-elle la vraie ? Ou ce n'était qu'une apparence ? Quel était donc le plaisir à collectionner les filles ? Tellement de question pour une si petite personne. Il était mystérieux. Ce qui le rendait d'autant plus captivant. |
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| Sujet: Re: L'envie et la haine s'unissent toujours […]. | |
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