Chapitre 1 : Un enfant exploité.

Dire que le jour de ma naissance était dans un jour ensoleillé et que cela s’était passé à merveille, que mes parents étaient parfait et lui aussi aurait été beaucoup trop banal et la banalité, je n’aime pas ça. C’était une journée comme toutes les autres, même pour les gens qui me servent de parents. Bon, d’accord, c’était la saint valentin, mais, à la maternité, les mères donnaient naissances à des enfants horriblement laid qui hurlaient à peine sorti. Pourquoi ai-je dit ‘enfants horriblement laid ? Tous simplement parce que c’est la réalité. Un enfant ne né pas tout beau, tout propre avec des cheveux coiffé et des dents blanche comme dans les pubs pour le dentifrice. Il faut arrêter tout de suite de s’imaginer que la naissance d’un enfant est comme dans ses séries provenant de mon pays natal, ou tout est beau tout est rose. Non car il y a beaucoup d’enfant qui n’ont pas la chance de vivre dans se monde. Certains, à peine sont-ils arrivés qu’ils doivent rentrer dans une couveuse car ils ont un quelconque problème. Je suis désolé d’être aussi négatif que ça, mais c’est la vérité. Et si vous êtes blessé par les propos que je viens de dire, tant pis. Car comme dit le vieux dicton, il n’y a que la vérité qui blesse. Bon, pour en revenir à ma naissance, il n’y a rien d’extraordinaire. Comme toutes les personnes de ma famille, je n’ai eu aucun, problème de santé, je me portais déjà bien étant petit. Une bonne semaine tout de même passé dans cet horrible hôpital qui avait la même odeur qu’un cabinet de dentiste, mes parents, mes exécrables parents m’emmenèrent dans leur maison. Je ne peux même pas dire que j’ai eu une enfant comme toute les votre car ce n’est pas vrai.

« Allo ! Monsieur Dowson, c’est Madame Lowrens à l’appareil. C’est pour vous dire que votre fils a réussi l’audition pour la pub sur les céréales et que nous commençons à tourner dès lundi prochain. Nous vous avons envoyez tous les papiers dont vous aurez besoins pour vous renseigner. Bonne journée Monsieur, au revoir. »

Mes parents avaient trouvé la solution pour gagner facilement de l’argent sans trop se fatiguer. En effet, j’étais leur source de revenu. Toutes les semaines j’étais sur un plateau de tournage pour une quelconque pub. Très jeune j’ai été habitué par les caméras et les choses qui vont avec. Mes parents étaient d’affreuses personnes, je crois qu’ils ne m’aimaient pas car ce n’est pas une vie d’être tout le temps sur un nouveau tournage. Ce n’est pas la vie pour un enfant. Pendant deux ou trois années je suivais des cours par correspondance –en primaire. Je suis donc rentré au collège avec la boulle au ventre. La peur de me faire rejeter par les autres élèves car ils m’avaient peur être vu dans la pub pour les WC. Mais, ça n’a pas été le cas. Du moins, pendant les quelques années que j’ai passé dans l’école privé dans laquelle mes parents m’avaient mis. Oui, mes parents se croyaient tout capable. Ils pensaient avoir une grande place dans la haute société de New-York. Ils avaient raison, sauf sur un point. Ils disaient toujours que le mérite était pour eux car ils avaient réussi à faire quelque chose de moi, sauf que c’est moi qui, à 3 ans ait apprit seul à faire du vélo pour jouer dans une pub. C’est moi qui fournissait les efforts, pas eux.

]Chapitre 2 : Une adolescence gâchée, quoique ....

L’adolescence. On est tous passé par la, malheureusement. L’adolescence, c’est l’âge con comme on dit, d’ailleurs, désolé pour la vulgarité du propos. L’entré au lycée s’était faite sans aucun problème. J’avais les résultats et un comportement en cours qui plaisait, pour ne pas me vanter. J’avais d’excellent résultats scolaire – ce que mes parents n’avaient pas remarqué étant donnée qu’ils étaient plus préoccuper par mon acné qui commençait à arriver et qui pourrait leur faire perdre leur entré d’argent qui était le pub dans lesquels je tournais. J’étais un adolescent comme les autres, sauf que moi, je m’intéressais plus au cours qu’aux filles. Bon d’accord, je m’intéressais aussi aux filles, mais moins. Lorsque je rentrais chez moi, je n’allais pas à des fêtes que mes camarades avaient prévues, mais je plongeais dans les bouquins. Le stade je m’en fou des autres, je n’ai pas d’ami et je m’en porte pas plus mal était passé lorsque j’eu mes 16 ans. Je me suis complètement lâché. J’allais à des fêtes, j’avais le plus gros quota de nombre de petites amies, en plus de tout ça, j’étais populaire. J’avais fait une croix sur la télé, et je m’étais consacré à ma propre vie. Lorsque soudain, ma petite vie fut chamboulé par un événement que tout adolescent ayant eu la ‘chance’ de tourné dans des pubs avec des mannequins eut.

Ma première relation … sexuelle fut avec un mannequin que j’avais rencontré lors d’une soirée de charité. Le lendemain, plus aucune nouvelle de cette fille. Je m’en foutais pas mal à vrai dire. J’étais une personne très arrogante, et j’étais très vantard. Je vous rassure, aujourd’hui, je suis loin d’être le même. Bon, revenons à ma période bête. Je ne me souvenais plus de cette soirée, huit mois après, c’était normal non, lorsque cette fille me donna un coup de file me disant qu’elle était enceinte, et qu’elle allait bientôt avoir l’enfant. Je ne sais pas pourquoi, j’étais ravi. J’avais utilisé cette situation pour partir de la maison et m’émancipé, vivre seul dans un quartier ou j’allais me sentir bien, là ou les gens ne se préoccuper pas de ce que j’avais pu faire de ma vie avant. Amanda – car c’est comme ça que le mannequin enceinte de moi s’appelait- vint habiter chez moi pendant le dernier mois de sa grossesse. Pendant ce mois là, j’avais arrêté l’école, et j’ai repris les cours par correspondance pour tourner dans plusieurs courts métrages et clips, tout cela pour gagner de l’argent pour élever l’enfant que j’allais avoir car oui, je voulais m’en occuper, et non le mettre dans une famille d’accueille. On s’était mis d’accord sur ce point la avec Amanda qui était d’accord avec ma décision.

Chapitre 3 : Une nouvelle vie

Le jour de la naissance de ma fille, je m’en souviens comme si s’était hier. Ce jour là, ma vision de la vie à complètement changé. J’avais eu mes 17 ans quelques jours avant sa naissance, et j’avais réussi à récolter beaucoup d’argent. J’étais dans la salle d’attente car la vue du sang me donne des vertiges, et lorsque le médecin d’Amanda m’appela, étrangement, je fus très serein. L’enfant était partie dans une salle dont je ne me rappelle plus le nom. Je ne pouvais donc pas la voir pour le moment. J’entrais dans la chambre ou Amanda se reposait. Elle m’attendait très certainement car elle était nerveuse, et donnait un air réfléchit. Je lui posais les questions que tous les pères ont déjà posées une fois dans leur vie. Amanda y répondit avec une voix fatiguée. C’est au moment ou je me suis arrêté de parler qu’elle m’annonça qu’elle ne voulait pas élever cet enfant qu’elle préférait se consacré à sa carrière de mannequin qu’elle comptait reprendre après avoir perdu du poids. Pour être tout à fait franc avec vous, je ne fus pas tellement surpris car c’était tout à fait son genre. Je lui dis que je comprenais, mais que contrairement à elle, j’avais l’intention d’élever cet enfant.

Amanda partie deux jours après son accouchement, je ne le savais pas. J’aurais pensé qu’elle serait resté quelques mois avec moi, le temps que je m’habitus au fait que je sois père, mais non. Elle partie, sans rien me dire, sans laisser un mot, ni de numéro de téléphone. Me voilà père. L’aide soignante qui s’occupait de ma fille me demanda qu’elle nom je voulais lui donner. Le premier prénom qui me vint à l’esprit fit : Hope.

« Elle s’appellera Hope. »

Et la, surprise, cette femme que je ne connaissais pas tellement bien me mis dans les bras ma fille, Hope. J’étais à se moment là l’adolescent le plus heureux du monde. J’emmenai ma fille dans la maison dans laquelle je m’étais installé quelques mois plus tôt et j’élevai ma fille comme un père célibataire adolescent pouvait le faire. Je tournais dans des publicités pour me faire de l’argent, quoique que j’aie économisé suffisamment pour vivre pendant dix longues années. J’avais aussi engagé une nourrice qui avait le même âge que moi et qui avait besoin d’argent. Je m’entendais d’ailleurs très bien avec elle. J’obtenu l’année suivante mon diplôme de fin d’année de lycée comme tous lycéens qui se respect. Je menais une vie merveilleuse. Je n’avais plus aucune nouvelle de mes parents, ce qui était parfait, et j’avais une personne qui contait énormément pour moi, ma fille.

Chapitre 4 : Une vie à l’université

Une entrée à la fac des plus normales. J’avais décidé de faire des études de psychologie pour avoir un métier stable. De plus, depuis mon enfance, je voulais devenir psychologue. J’avais arrêté mon ‘métier’ d’acteur à la place, je travaillais dans une boulangerie à mi-temps car j’avais ma fille à élever et des études à faire. Gossip Girl, la fille qui n’a que raconter des ragots sur l’élite et les étudiants vint rapidement mettre son petit nez dans mes affaires. Petit bémol pour cette fille qui n’a rien à faire de ses journées. Ma vie est l’une des plus banales. J’ai une fille, un métier, et je fais des études. Je ne suis pas du genre à faire la tournée des bars tous les soirs et coucher avec toutes les filles que je trouve. Au contraire, lorsque je rentre le soir à Brooklyn, je passe du temps avec Hope et je révise mes cours. Ma vie est tellement palpitante…